9782847954432
Un livre inspiré d’une extraordinaire histoire vraie ! La découverte de deux mondes rarement évoqués dans le roman traditionnel : l’Albanie communiste et la vie quotidienne dans une ambassade.
Un conte extraordinairement drôle et absurde, déjà publié en Italie, Albanie, Norvège, Pologne et République tchèque.
La valse du bonheur débute par la description d’une journée d’avril, dans la capitale albanaise, l’une de ces journées durant laquelle se déroule le rite inoubliable par lequel sont passés tous les pays communistes totalitaires : la mort du Chef.
Du milieu de la foule, s’écoulant tel un sombre fleuve pour participer aux obsèques du Chef défunt, une famille de la capitale, se détachant soudain des rangs, réussit à franchir le portail d’une… ambassade occidentale !
Cet événement, reposant sur un fait bien réel, ébranla à l’époque l’Albanie tout entière.
Le sort de cette famille ayant fait le choix d’une fuite spectaculaire, les complications dramatiques qui en découlent pour les personnages, la manière dont l’anxiété finit par se mâtiner d’espérance, la constante imbrication des ennuis et du bonheur forment la trame de ce récit tragicomique et où l’humour noir le dispute sans cesse à la terrible réalité.
L’auteur
Ylljet Aliçka est plus qu’un touche à tout de génie… En plus d’être professeur émérite en sciences didactiques, écrivain au succès international – ses romans et ses recueils de nouvelles sont traduits dans plus de cinq langues –, scénariste et réalisateur sélectionné à la quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes en 2001 pour le film franco-albanais « Slogans », lauréat du Golden Prize au Festival international du film de Tokyo… et ambassadeur d’Albanie en France… C’est un conteur truculent !
Plusieurs romans et recueils de nouvelles ont été traduits en français : Les Slogans de pierre , Les étrangers, etc.
La presse en parle...
"On rit amèrement en lisant le roman « La valse du bonheur » d’Ylljet Alicka, mais on rit quand même…" - Stefano Pasta-Corriere della sera - Milan
"Les récits d’Alicka oublient la psychologie des personnages et la remplace par l’absurdité des situations. C’est ce seul procédé qui rend sa littérature originale et humaine." - Filip Šimeèek “Cultura.cz» - Prague
"Une comédie albanaise « à l’italienne ».
Le roman d’Alicka met en évidence la face la plus absurde et, en même temps, la plus « normale » du monde ou nous vivons en confrontant les tares spectaculaires du communisme et du capitalisme. Il sait de quoi il parle… Il sait voir et juger le sens de l’Histoire." - Geofreddo Foffi – Internazionale.it - Rome
"S’amuser avec l’humour noir et l’absurde du communisme albanais. Les romans d’Alicka contiennent une moral non explicite. Son seul point de vue nous suffit pour connaitre dans son absurde tout l’univers du communisme. Comme chez l’Hemingway, plus que l‘émotion, ce sont les dialogues, l’irrationnel, la surprise font le récit d’Alicka." - Jan M.Heller Literatura.cz - Prague
Article paru dans la revue littéraire : en attendant Nadeau
Auteur | Ylljet Aliçka |
Format | 14 x 21 cm |
pages | 196 |
Editeur | L'Esprit du Temps |
ISBN | 978-2-84795443-2 |
Date de parution | Avril 2019 |