• L’impasse criminelle
Sophie De Mijolla-Mellor
• Un cas de famillicide : crime et psychose
François-David Camps
Cet article étudie les liens entre crime et psychose. À partir de l’étude du cas clinique d’un homme atteint de schizophrénie ayant tué toute sa famille, l’article tente de mettre en lumière les diverses interprétations de l’acte meurtrier tout en les liant aux impasses de l’histoire subjective de cet homme. Il distingue l’uxoricide de l’infanticide par les mobiles inconscients sous-jacents à chacun des meurtres. L’article postule que ce crime familial est le produit d’une absence d’inscription de la filiation chez le sujet et un recours face à l’angoisse de perte. Il distingue plusieurs logiques inconscientes à ce crime familial : celle d’un matricide imaginaire dans le meurtre de l’épouse et celle d’une solution mélancolique et cannibalique au meurtre des enfants.
• À qui la faute ?
Sébastien Chapellon
, Élisabeth Gontier
• Freud parle aux juristes : savoir et vérité entre la psychanalyse et l’instruction judiciaire
Victor M. Nobre Martins
• Quand le psychanalyste est témoin d’un crime
Yaelle Sibony-Malpertu
• « Ce meurtre est tout ce qui me reste de ma vertu. » (Lorenzaccio)
Francis Drossart
• La jalousie pousse-au-crime
Nicolas Evzonas
• Déplacements meurtriers. Étude sur la nouvelle Le fils d’A. Schnitzler par rapport à l’ouvrage de Theodor Reik Arthur Schnitzler als Psycholog
Roseline Bonnellier